Description
Avatar : Zack Nelvas 
Taille : 1m85
Carrure : Costaud
Couleur de peau : Hâlée
Couleur des yeux : Noir avec reflets dorés.
Cheveux : Noirs, mi-longs tressés en dreadslocks
Style vestimentaire : Veste en cuir noire, Treillis noir.
Signe distinctifs : Des tatouages en relief. Quatres sur le visage, faisant penser à une sorte de connexion. Plusieurs sur le bras droit, en partant du poignet, qui, en y regardant bien, font penser à des impacts de projectiles.
Impression : Antipathique, intimidant.
Symboles : Flasque d’alcool fort.
Ouais, ouais. Et alors ?
J'ai beau faire plus d'1 mètres 80 et travailler un peu ce style de bad boy, crois-moi que certains en ont rien à carrer. Pas grave. Quand il voit mes yeux noirs, avec ce reflet particulier, ça les intrigue.
Là ils commencent à prêter attention aux détails.
Les tatouages sur le visage qui font penser à des câbles, ou encore ceux sur le bras. Pas un jour ne passe sans que les gens me prennent pour un mutilé, tu vois ? Et laisser planer ce mystère... Ca participe.
Et quand ils entendent ma voix avec ce ton grave, qui donne l'impression que je gronde, comme un animal... Là, ils commencent à m'écouter. Et l'écoute, c'est primordial par chez nous, pas vrai ?
Mais tu sais ce qui me fait rire le plus ? C'est que les gens me croient pas quand j'dis que je suis inspecteur de police.
Gène mutant
Je n'suis paaaaaaas un mutant ! Non j'ai bien du sang humain dans la peau ! Je n'suis paaaaaaaaaas un mutant ! Un mutaaaaaaaaaant OOOOOH !
Histoire
T'sais, à moins d'être né comme un connard, bah... Y a pas de raisons à ce que t'en sois un dès le départ.
Bon, les gosses... Ils ont pas la notion de bien ou de mal, comme les ados. Mais après, t'es sensé savoir, non ?
Bah moi, au début, j'étais comme ça. Un tit gosse paumé qui s'amusait dans les rues de Central Point.
Pas riche, forcément, sinon j'serai pas ici à m'les peler dans ce coin miteux. Enfin bref, presque tous les coins sont pourries ici, d'une façon ou d'une autre.
J'en étais où ? Ah ouais, gosse paumé.
J'étais un peu trop jeune, mais j'ai assisté à la naissance des "Pro-turne" là. J'trouvais ça bien, perso.
Quand t'es gosse, tu comprends pas trop pourquoi les gens rejettent les autres. Même quand t'es gosse et que t'en rejette un autre, tu sais pas trop pourquoi.
Enfin, je m'égare.
Donc, y avait le mouvement, les années passent. Pas trop à plaindre, c'est la galère mais pas trop.
J'continuais à voir les injustices, un peu à tout niveau, monde pourris quoi.
On est plus beaucoup à vivre et on peut vivre qu'à un endroit, ça s'trouve encore le moyen de se bouffer la gueule.
Tout ça m'paraissait injuste.
Du coup, j'avais étudié pour être flic, voire inspecteur.
J'étais pas con, je le suis toujours pas, donc j'ai réussi. J'ai fait mes premières classes, avec toute la jolie théorie.
L'horreur, ça a été à la sortie.
Quand t'es petit... J'parle socialement, hein. Bah on te fout la tête dans la merde et on te prépare pas.
Alors à peine sorti, j'suis allé dans les quartiers sales de Central Point.
Bagarres, vols, règlements de compte, intimidations, deals, prostitutions, meurtres, viols.
T'essaie de faire des trucs, mais... Non. La hierarchie te tombe dessus, si tu vas pas dans leur putain de sens.
Et le pire ? C'est que pas un est meilleur que les autres, finalement. La masse, ça a rien de bon.
Au début, j'y croyais encore. Naïvement.
Pis à force de t'prendre des baffes dans la gueule, bah... T'y crois plus.
Pour la populace, t'es un pourris.
Pour tes collègues, si tu vas dans leur sens, t'es un type bien. Si tu remontes des délits de leur part, t'es la pire des crevures et alors tu te fais menacer.
Quant à la hierarchie, compte pas dessus.
Et pour un salaire de misère. J'demandais pas à être riche mais au moins confortable.
En vrai, tu vois ça sur mon bras ? C'est les restes d'une bombe artisanale. J'ai repéré le truc, pas trop à temps, j'ai reculé pis le truc à péter. A peine eu le temps de me mettre sur le sol, le bras qui m'protège la tête.
Je me rappelle encore de la grenaille qui m'pénètre dans le bras, du bruit qui m'a démolit les tympans, et du souffle où j'me suis senti écrasé, comme une merde.
J'ai survécu, je sais pas trop comment. Tout le monde s'en foutait. Certains ont même regretté que j'sois pas mort.
Ma famille ? Non mec, mes parents sont morts. Y avait ptête ma copine de l'époque qui a montré de l'inquiétude, forcément.
T'façon, aujourd'hui, on est séparé. Elle a pas accepté ma chute.
Ouais.... Ma chute. C'est ce jour là où c'te putain de bombe à péter que j'ai décidé d'arrêter. Après 10 années à essayer d'être droit, j'ai changé.
Maintenant, je joue à leur jeu avec mes règles, et si j'peux tous les faire chier, J'le ferai.
Plus de règles, plus de lois. Ah si ! juste une. Faut des preuves. Mais les preuves, ça se fabriquent.
Ca fait quoi ? 4 ans maintenant.
J'fais dans le deal, j'participe à la prostitution. J'aide même un pote à aller casser la gueule à des bandes rivales.
Pour les enquêtes, toussa... J'suis toujours plus efficace quand on me rajoute un petit bonus type "carte à puces", qu'on me demande de pas chercher ou qu'on veut que je cherche à fond... Et là, c'est plus le flic qui sort.
Si j'me sens mieux ? Non, mais au moins j'ai plus de pognons.
A quoi ça m'sert ? Fumer, boire et m'droguer. Ouais, j'oublie ce monde dès que j'suis pas au boulot.
Une épave ? Sûrement.
D'ailleurs, la psy m'a catégorisé d'auto-destructeur. Mais bon, elle, elle est bien planquée derrière son bureau, dans le comissariat. Elle sait que notre vie est dure, mais ça s'arrête là.
Elle est aux ordres de la hierarchie.
Mental
▲ Intelligent
▼ Vénale
▲ Déterminé
▼ Amoral
▲ Pragmatique
▼ Impulsif/Instable/Colérique
▲ Débrouillard
▼ Vindicatif
▲ Efficace
▼ Alcoolique & Jeux
Zack Nelvas est quelqu'un de profondément pessimiste. Il a pleinement perdu "foi" en l'espèce humaine, y compris les mutants.
Violent, impulsif et caractériel, il n'aime pas se faire marcher sur les pieds. Lorsqu'il courbe l'échine, c'est parce que l'acte en rapport apporte un plus à ses intérêts.
Malgré ce genre d'emportement, il a plutôt tendance à "réagir" aux évènements. Il n'irait jamais agresser quelqu'un directement, sans motifs. Quelque chose doit s'être passé. Mais malheureusement, ce "quelque chose" peut être un simple regard de travers ou insistant.
Il n'hésite pas à faire usage de la force et de ce qu'il a appris à la police pour se battre. Cependant, il ne sort presque jamais son arme de service, sauf si la situation l'exige.
Il n'est pas généreux, préférant tout garder pour lui. Développant un caractère vénal afin d'augmenter son niveau de vie.
Il refusera difficilement de faire un quelconque truc contre de l'argent. Même si cela va à l'encontre de son travail de flic.
Les seules personnes qui semblent échapper à sa colère sont les enfants, qu'ils jugent non responsables de tout ce merdier.
Vis-à-vis d'eux, il est capable d'une certaine gentillesse.
Dossier Psy
Dossier de Zack Nelvas, dans les bureaux de la police.
‣Êtes-vous un Turne? - Non‣Avez-vous de la famille? - J'avais ‣Quel a été le plus beau moment de votre vie? - Certainement pas celui où je suis né. ‣Si vous pouviez changer quelque chose dans votre vie, qu'est-ce que ce serait? - Avoir une lampe de génie et faire trois putains de voeux. ‣Avez-vous de la rancœur vis-à-vis des Turnes? - Oui ‣Avez-vous de la rancœur vis-à-vis des Humains? - Oui ‣Croyez-vous en la paix entre les races? - Non, déjà qu'entre gens de nationalités différentes, on s'bouffe plus que le bec...‣De quoi avez-vous le plus peur? - De rien ‣Quel est votre but, comment envisagez-vous l'avenir? - Mortel, littéralement. ‣Avez-vous des regrets, des choses inaccomplies? - Comme tout le monde. ‣Quelles sont vos occupations externes? - Boire, fumer, baiser, et jouer ‣Avez-vous déjà tué quelqu'un? - Pas qu'un Quelques notes dans son dossier :
- Diverses mises à pied de la part de hierarchie, pour coups et blessures envers un supérieur
- Rapports d'entretien avec la psy. Notifie que Zack Nelvas est un élément instable et psychotique, à surveiller
- Des rapports d'enquêtes pour possibles liens avec un gang criminel, qui n'ont pas abouti.
- La supposition d'une planque dans la ghetto.
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