Aaron Liam Hellmate - (terminée)

Description

Avatar : Nom du personnage utilisé
Taille : 1m80
Carrure : Athlétique
Couleur de peau : Blanche
Couleur des yeux : Bleue
Cheveux : blond
Style vestimentaire : uniforme de police ou costume
Signes distinctifs : Cicatrice à l’épaule gauche due à une morsure
Impression : Trop Calme
Symboles : Des gants de cuir

Hors du travail, Aaron sera toujours habillé d’une chemise à manches longues, d’une cravate noire et d’un jean noir ou bleu marin. Il peut s’étoffer avec un gilet noir mais ça c’est lorsqu’il n’oublie pas qu’il en a un dans son armoire. Et lorsque la température baisse, un long manteau suffit à garder ce grand blond au chaud.

Le tout sert à habiller une carrure athlétique nécessaire pour son métier. Et oui la chemise moulante est nécessaire. Il faut bien montrer un peu ses muscles dont il est si fier. Heureusement ça cache cette vilaine cicatrice reçue en service. Comme si un chien lui avait transpercé la peau sans l’intention de le lâcher.

Cheveux blonds, mi-longs, il les coiffe de façon à avoir une frange qui lui tombe sur le coté de l’oeil droit mais lorsque la journée à été longue et intense, la mèche lui retombe devant l’oeil.

Ce n’est pas seulement pour le style qu’il porte ses gants en cuir noir synthétique, mais plus pour éviter de se salir les mains. Mais honnêtement c’est aussi pour le style.

Gène mutant

A laisser vide pour les humains.
Donne ici une description du pouvoir du gène mutant, si tu fais partie des Turnes. N'oublie pas, celui-ci n'est pas un super-pouvoir, mais une augmentation d'une capacité humaine existante. En gardant cette seule règle en tête, donne libre cours à ton imagination! Indique aussi ses limites à son utilisation la plus puissante.
Et garde également en mémoire qu'à chaque fois que tu l'utiliseras, tes yeux changeront de couleur : le blanc virant au vert sombre-noir, et l'iris devenant argenté!

Histoire

On ne choisit pas ses parents. C’est un fait immuable de l’univers. Et de ce fait, on ne choisit pas son nom de famille non plus. Du moins jusqu’à ce qu’on soit adulte et qu’on remplit des papiers administratifs. Mais enfant, Aaron ne pouvait pas échapper à son nom signifiant le “compagnon de l’enfer”.

Et comme les gens, et surtout les enfants, jugent d’abord par les apparences, l’enfance de Aaron était compliquée. Il n’était pas totalement isolé mais le peu d’amis qu’il avait, il les avait rencontré via la force des choses (projet de classe, relations parentales, …). Il s’en contentait, ils avaient finis pas l’accepter.

Il passa donc son enfance et son adolescence à étudier et jouer de temps en temps avec ceux qui le voulaient bien. Pour ce qui est du sujet présent dans tous les esprits, les turnes, Aaron n’en a jamais rencontré. Jamais côtoyé. Et il n’aurait jamais osé vu le positionnement de ses parents envers les mutés. Et 17 ans en présence de parents réfractaires aux turnes, ça n’aide pas à se forger un avis positif envers eux. Surtout si on rajoute les médias dans tout ça.

Et à 17 ans, c’est là que tout s’accélère. Aaron rencontre LA femme de sa vie. Celle qui éclipse toutes les autres. Celle qui lui donnait espoir dans la vie. Celle qui lui disait que tout allait bien, et que tout se passera bien. Elle était une âme battante qui prônait l'égalité entre les turnes et les humains, prête à en venir au conflit pour défendre ses idées et les turnes. Aaron ne s’exprimait pas là dessus. Toujours peu certains car modelé par ses parents mais désireux de comprendre le point de vue de sa bien aimée.

Même s’ils étaient jeunes, Aaron était sûr qu’il finirait sa vie avec elle. Toutefois il le pensait, avant qu’elle ne tombe enceinte.

Au début, Aaron fut surpris de la nouvelle. Puis il fut très heureux. Certes ils étaient jeunes mais il n’étaient pas incapables. Et comme elle le disait si bien “tout se passera bien”.

Mais durant tout le temps de la grossesse, Aaron accumulait du stress. Il n’avait rien dit à ses parents. Car il les savait strictes. Il se posait les mêmes questions qu’ils auraient pu poser. “Comment tu vas subvenir aux besoins?”, “et tes études?”, “est ce qu’il y des risques que ce soit un turne?”.

Cette dernière question. Elle était ancrée dans le cerveau du garçon. A cause des événements relatés dans les médias. A cause de ses parents qui lui bourrent le crâne depuis des années. A cause de la peur de l’inconnu. Il ne savait pas comment il réagirait si
son enfant était un mutant.

Tout s’évapora lorsqu’il pu tenir la nouvelle née dans ses bras. L’entendant pleurer, la sentant gigoter. Aaron souriait. Sincèrement. Il était heureux. Il passa l’enfant à sa mère et vint se poser à coté d’elles. Admirant ce petit miracle.

Puis quelque chose se rompit dans son cerveau. Lorsqu’il vit deux pupilles argentées. C’était comme se prendre une voiture. En pire. Il n’entendait plus rien. Ne sentait plus rien. Et n’avait plus de souffle pour dire quoi que ce soit. Il essaya de voir une réaction chez sa compagne, qui ne sembla pas surprise ou choquée devant ces deux yeux anormaux.

Et, sans s’en rendre compte, Aaron se “réveilla” chez lui, face à ses parents. Leur expliquant toute l’histoire. La réponse ne fut pas glorieuse. Des cris, des gifles, des larmes. Sa mère rejetait l’idée d’être grand-mère d’un “monstre”. Son père lui, garda un semblant de calme et ordonna au garçon de prendre ses affaires et de partir. N’importe où mais hors d’ici. Loin d’ici. Ce n’était plus chez lui.

Un sac sur le dos, rempli de vêtements, peu d’argent sur lui et une famille laissée derrière, à l'hôpital, Aaron était seul. Perdu.

La vie était dure. Faire des boulots médiocres pour se payer une chambre miteuse dans des quartiers immondes. N’avoir rien à lui. Personne pour lui. La colère grandit. Plus il passait du temps sans but, plus il était en colère. Et il lui fallait un catalyseur. Une chose vers laquelle rediriger ses sentiments.

Les turnes. C’est toujours de la faute des turnes. Il a tout perdu à cause d’eux. Il faut les arrêter. Pour qu’ils ne puissent plus faire de mal. Les envoyer au FATE afin de trouver un remède. Une fois soignés ils seront des humains normaux qui ne causeront plus de problèmes.

C’est pourquoi Aaron travailla son corps pour devenir l’homme qu’il est aujourd’hui. Grand, Athlétique et prêt à concourir à l’école de police à l’âge de 22 ans..

Il réussit sans mal et fut assigné à un district mouvementé. Bien sûr, ses collègues étaient déjà rebutés par le nom de famille de la nouvelle recrue. Mais Aaron s’en fichait. Il recevait une mission ou une tâche et s’y tenait. Bon la circulation c’était pas le mieux mais il fallait bien débuter quelque part.

Et au fil des ans, il en fit des missions. Avec ce masque calme qu’il avait forgé et toutes les compétences qu’il avait apprises pour en arriver jusque là.Ce qui lui permit de postuler bien plus tard, vers ses 30 ans, au poste d’adjoint d’enquêteur pour crimes reliés aux Turnes. C’était ce qui l’attirait le plus. Enquêter sur ces affaires et envoyer les monstres au Fate pour les soigner ou réduire leur nombre.

Bon, hormis le fait que son partenaire enquêteur était un incompétent, du point de vue du Hellmate, les arrestations arrivaient à apaiser doucement sa colère.

Jusqu’à ce qu’elle explose lors d’une mission d’arrestation. Où un suspect, présumé turne, s’était réfugié dans son appartement. Ils y sont allés à deux pour contenir l’individu le temps que les renforts arrivent. Toutefois le bougre était ingénieux et avait fait croire qu’il s’était enfui par la fenêtre pour tendre une embuscade au collègue d’Aaron dans la salle de bain.

Arrivant trop tard, Aaron sentit la colère remonter violemment dans son esprit. Ce bâtard venait d’arracher la carotide de l’enquêteur avec ses dents qui étaient toutes pointues. Encore quelque chose d’inutile dans cette société humaine.

Il n’était plus question d’une arrestation formelle. Aaron allait mettre en charpie ce monstre. Le combat fut rude et violent. Le criminel se sentit obligé de mordre aussi Aaron, mais par chance il n’eut que l’os de l’épaule. Aaron utilisa son DED pour faire lâcher la bête et le pousser contre le mur à fenêtres du salon. Et là ce fut la volée de coups. Les points du policier venant s’écraser sur chaque endroits susceptibles de faire mal. Les gants de cuir se déchirent en même temps que la peau de ce visage qui ressemblait de moins en moins à un visage.

Au bout de longue minutes, Aaron s’arrête pour reprendre son souffle. Regardant le corps inerte à ses pieds. Les renforts de son toujours pas là. Et il faut bien venger son collègue. Personne ne pleurera la mort d’un fumier cannibale. Et puis le FATE a déjà plein de cobayes. Un de plus ou un de moins, ça change rien. Mais comment lui faire regretter ses actes?

Aaron réveilla le bougre en lui jetant un verre d’eau au visage, le laissant paniqué et reprendre son souffle. Le regard terrifié qu’il eut en voyant ce visage calme en face de lui était tout bonnement jouissif. Mais il ne fallait pas lui montrer. Il fallait qu’il regard le visage imperturbable de la justice qui s'abat sur lui.

Il devait avoir ce même visage lorsqu’il passa par la fenêtre. Venant s’écraser, sans grâce, sur le trottoir. Un monstre de moins. Et un pas de plus pour Aaron.

Aux vues des événements, on ne regretta pas la mort du criminel et Aaron fut promu au poste de son défunt partenaire. Certains collègues dirent que c'était son nom qui avait porté la poisse à l'ancien enquêteur.

Il avait tout désormais. Un travail stable et plaisant où il pouvait se laisser aller de temps en temps. Avec un poste avantageux. Un appartement extrêmement bien rangé. Et… et… non. Il n’était plus avec cette femme. Oui ça fait longtemps mais… il ne se l’ai jamais sortie de la tête.

-Tu t’en es sortie Cassidy? Ou ce monstre t’a définitivement gâchée la vie? Se posa comme questions l’homme esseulé en regardant son plafond

Mental

▲ Travailleur ▼ Lâche ▲ Assidu ▼ Colérique ▲ Observateur ▼ Antipathique ▲ Déterminé ▼ Raciste  ▲ Ambitieux ▼ Maniaque


Aaron est un homme droit dans ses bottes, qui aime son travail et qui s’y applique fortement.
D’une part parce que Aaron désire prouver qu’il est meilleur que les autres. Et d’autre part car son métier exige une grande discipline et un sens de l’observation affiné. Cela demande aussi de faire part d’un calme olympien qui pourrait en dérouter certains. Que ce soit devant une scène de crime, à une réunion entre collègues, devant les civils, etc, Aaron garde une expression neutre.

Oui cela cache quelque chose. Oui ce calme apparent n’est qu’un masque cachant le véritable Aaron. Un homme toujours rongé par la colère. Une colère aujourd’hui dirigée vers les turnes qu’il déteste par dessus. Ces abominations qui lui ont pourri la vie.  Surtout lorsque ça devait être le plus beau jour de sa vie avec la femme qu'il aime.

Cet amour est toujours là, quelque part, dans son coeur et son esprit; L’empêchant d’autant plus de créer une nouvelle relation sérieuse avec une autre. Ce qui l’a poussé à être un homme isolé et incapable de prendre ses responsabilités autre part que professionnellement.

Mais il n’a pas toujours été si…. calme et discrètement en colère. L’enfant, qu’il était, était passionné par la biologie et souhaitait se faire des amis. Mais les destin étant cruel, Aaron avait comme nom de famille “Hellmate”. Ce qui ne donnait pas envie aux autres de s’ouvrir à lui. Toujours pas d’ailleurs. C’est de là qu’est née sa colère.

Son appartement en est une preuve. Peu de biens matériels, le stricte minimum en guise de meubles, courts et autre. Rien ne dépasse, tout est à sa place. Et c’est la même chose sur son bureau. Donc ça l’irrite fortement lorsque la femme de ménage déplace sa tasse à café.

Mais ça va. Il peut évacuer ce type de frustration durant son service. Lorsqu’il faut interroger quelqu’un, interpeller un suspect. Décharger tout sa frustration dans l’action. Surtout quand il s’agit d’un turne confirmé. S’il ne coopère pas et tente de s’enfuir, Aaron a le droit, voire le devoir, d’utiliser la force.

Ayant bien étudié l’anatomie dans son enfance, Aaron sait où faire mal s’il veut faire mal. Et c’est tellement jouissif de faire souffrir quelqu’un qui le “mérite”. Le seul moment où Aaron se sent vivant et expressif..

Dossier Psy

Ce dossier est obligatoire pour les étudiants.
Il permet de savoir, pour le psychologue, ou pour n'importe qui qui aurait accès au dossier, les informations que vous avez déclarées à l'institut. Vous pouvez mentir, mais il risque d'y avoir des conséquences...!

Si vous ne faites pas partie du N.E.S.T., libre à vous de remplir cette partie ou non, avec un psychologue privé.

‣Êtes-vous un Turne? - non
‣Si oui, quelle est votre mutation? - X
‣Avez-vous de la famille? - non
‣Quel a été le plus beau moment de votre vie? - ma promotion
‣Si vous pouviez changer quelque chose dans votre vie, qu'est-ce que ce serait? - une rencontre
‣Avez-vous de la rancœur vis-à-vis des Turnes? - oui
‣Avez-vous de la rancœur vis-à-vis des Humains? - non
‣Croyez-vous en la paix entre les races? - non
‣De quoi avez-vous le plus peur? - d'être incapacité
‣Quel est votre but, comment envisagez-vous l'avenir? - continuer mon évolution professionnelle
‣Avez-vous des regrets, des choses inaccomplies? - oui
‣Quelles sont vos occupations externes? - le sport et la lecture
‣Avez-vous déjà tué quelqu'un? - oui