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Rumeurs

Aux informations de Central News, les images de la manifestation mettaient en scène trois élèves et un professeur du NEST. Kelya, Skye, Heidi et Kayn. Leur implication est inconnue, mais les images ont beaucoup tourné, difficile de les manquer.
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On parle également, parmi les victimes, d'un turne avec deux rangées de dents pointues. Violent, proche des milieux terroristes, il est annoncé qu'il trempait dans plusieurs réseaux de trafic d'enfants. Des photos ignobles ont été retrouvées sur son nanocom et de l'ADN sur ses dents, prouvant qu'il s'adonnait au cannibalisme.
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Depuis la manifestation, les turnes sont très restreints dans leurs droits civiques. Couvre-feu, certains magasins interdits, plus de présomption d'innocence... Une atmosphère étouffante s'est emparée des rues. Heureusement, au NEST, il n'en paraît rien, pour les pensionnaires.
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Au NEST, on raconte dans les couloirs qu'il se passerait quelque chose entre le prof d'anglais et l'infirmière... Ils sont faits pour s'entendre, aussi calmes et posés l'un que l'autre...
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Ariel CARMIN [Fini]

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Ven 28 Juin - 19:28
Ariel CARMIN



  • Nom CARMIN
  • Prénom Ariel
  • Âge 19 ans
  • Genre Homme (se perçoit femme)
  • Orientation asexuel
  • Mutation Oui
  • Nationalité Française
  • Groupe Turnes
  • Occupation Aucune

Description

Avatar : Personnage original de Catzz

Taille :   1m65
Carrure : Mince
Couleur de peau : claire
Couleur des yeux : bleu maya
Cheveux : Brun et tombant jusqu'au creux du dos, coupé mi-long autour du visage.
Style vestimentaire : Féminine et variée
Signe distinctifs : très soigné.
Impression : Une jeune demoiselle qui dégage quelques chose de trop ... parfait.
Symboles : Des boucles d'oreille en crochet, avec une chauve-souris et une pierre orangée.   

Concernant de plus ample explication de mon corps. Il est en forme de sablier, ce qui est très utile pour porter des tenues féminines. Je suis dans les clous en terme de poids, si on compare à la courbe des femmes, pour les hommes, je suis en dessous du seuil normal.  Mon corps est agile, cette agilité vient du fait que l’on m’a imposé le fait qu’une femme devait être flexible, ainsi qu'endurante à l’effort.

Si je peux courir pendant une assez longue distance, je ne suis pas apte à porter longtemps un poids de vingt kilogramme, je n’ai presque pas de force à déployer. La seule chose qui pourrait me sauver est ma dentition, aiguisée et peu usée, ainsi que mes ongles.  
Hormis mon sexe que je dissimule, je reste très respectable pour une femme.  


Je possède une voix fluette et qui pourrait être acceptable pour une jeune femme.  Quand on passe toute sa vie à devoir avoir une voix féminine, on ne peut qu’obtenir des résultats. Pour dire vrai, je ne sais même pas quelle sonorité aurait ma voix si j’avais eu une vie normale et je n’arrive pas à l’imaginer.  

En terme de vêtement, je porte des tenues de femme constamment, comblant le manque de féminité avec de nombreuse techniques que l’on m’a enseigné, centrant ma poitrine avec des soutien-gorge  balconnet ou en usant de soutien-gorge adhésif, pour former le creuset entre les deux seins d’une femme. Cela ne me permet pas de remplir du B, mais cela reste suffisant pour un bonnet A.  
Pour ce qui est du style de vêtement, j’ai été habitué, à mon grand damne, à porter toute sorte de vêtement, allant du plus sobre au plus affriolant.

Je prends énormément soin de mon corps, on pourrait dire que s’en est maladif tellement je ne peux supporter la présence d’un poil disgracieux.  Je devrais cependant faire avec les quelques marques de brûlure aux jambes, qui se résorberont avec le temps.

En termes de parfum, mes parents m’imposaient des senteurs florales et boisée, venant à m’y faire.

Il peut m’arriver de ma maquiller, selon les besoins, étant spécialement adroit avec le mascara et le rouge à lèvres. Aucune préférence avec les couleurs, essayant de marier le maquillage aux tenues que je porte, tout en joignant l’utilité. Sinon je ne porte qu’un baume à lèvre pour les protéger et les soigner.  
.

Gène mutant


Ma mutation est le magnétisme. Pour faire simple mon corps génère un champ magnétique plus épais et intense.


Cela peut engendrer des bugs sur la technologie qui n’est pas protégée contre ce genre d’attaque, voire endommager les circuits les plus sensibles.

Je n’ai aucun contrôle dessus, étant lié de mes sentiments.

En temps normal, cela n’est pas un souci si l’exposition dure moins d’une minute, s’éloigner et attendre quelques seconde suffit à dissiper en général les effets. La portée est de dix centimètres.

Par contre sous l’effet d’une émotion forte ou d’une intense peur, je n’ai aucun contrôle dessus, venant à gagner en intensité et pouvant dérégler des appareils à une portée de moins d’un mètre. Dans ses conditions mon cœur bat plus vite et m’essouffle, comme si je courrais pendant plus d’une heure. Je sors souvent épuisé de ce genre de période, pouvant tomber dans les pommes si je n’arrive pas à me reprendre.


Histoire


Mes parents n’ont jamais aimé les Turnes, ce sont des monstres à leurs yeux, des chiens qu’il faut dresser et guider à la baguette.  Ils désiraient ardemment une fille, cela permettait d’agrandir la famille et s’était bien pratique pour les mariages arrangés. La malchance voulu que je naisse. J’étais un Turne et en plus un garçon. S’ils ne dirent rien et mimèrent une certaine joie d’avoir un enfant, mon enfer ne commença qu’une fois à la maison.  Mon éducation dès mon plus jeune âge fut sévère. Je fus élevé comme une fille, portant des tenues de fille dans la maison, mais devant porter des tenues de garçon en dehors.  

J’appris à jongler entre deux vies, celle publique, où je devais être un garçon silencieux, obéissant. Dans la vie privée j’étais une princesse comme Cendrillon, devant tenir mon rang et ne pas espérer autre chose  que d’obéir à mes parents.  Dès mon premier souvenir, mes parents n’acceptaient aucun écart de ma part.  La moindre erreur et ils me punissaient, rivalisant d’imagination pour ne me laisser aucune marque extérieur. Les méthodes les plus efficace étant la suffocation avec un oreiller ou alors la noyade dans la salle de bain. Il y avait aussi d’autres méthodes plus douloureuses, moins subtile, comme l’usage de cire de bougie. Ils ne prenaient pas le risque d’utiliser des appareils électronique sur moi.
Ma chambre était le seule endroit où j’étais autorisé à errer, les toilettes et la salle de bain n’étant utilisable qu’à des heures précis. Encore une fois la moindre infraction était sanctionnée et ils n’hésitaient pas à m’affamer ou m’assoiffer pour que la leçon soit bien comprise, en profitant pour m’obliger à m’humilier. Ils prenaient leurs pieds à me traiter comme une chose.

Avec un tel traitement, j’eus de gros soucis de sociabilisassions. Je parlais peu, préférais les phrases courtes, poli. Au début du collège, on vint à me couper une pointe, pour rigoler. Sous la peur que mes parents ne me punisse en voyant cela, je vins à laisser mes émotions prendre le dessus, venant à exploser et battre avec violence le fautif.  On me réprimandait sur le fait que j’avais détruit une partie de son matériel avec ma mutation et bien amoché son visage, alors que mes poings étaient dans un triste état. Mes parents se mirent à feindre l’incompréhension de mon geste et jurer que je serais corrigé comme ils se doits.
La punition était une tentative de noyade matin et soir, tout en me privant d’eau et de nourriture pendant trois jours. En vérité mes parents n’attendaient que cet évènement pour annoncer qu’ils allaient m’éduquer personnellement, afin d’éviter tout dérapage. Ce fut donc l’entrée dans une féminisation davantage forcée, étant enfermée à la maison, il n’y avait aucune raison pour que je sorte souvent, recevant des cours particuliers.  

Les matières étaient multiple, il fallait faire de moi une compagne qui puisse tenir une maison, faire à manger et satisfaire mon « possesseur » comme disait mes parents.  Si cela aurait pu sembler une bonne éducation sur le papier, la vérité n’était pas aussi rose. Mes éducateurs, qu’ils soient hommes ou femmes, avaient tous l’envie de me pousser dans mes retranchements, de me voir supplier pour stopper et en profiter pour me punir comme ils souhaitaient, je n’étais qu’un objet, ils pouvaient un peu m’égratigner, tant que cela n’était pas durable. Si j’ai gardé des souvenir de mon instruction, j’ai vainement cherché à oublier le visage de ses personnes et de leurs punitions. Cela ne faisait que me conforter dans l’idée que dehors, il n’y avait au final que des monstres qui voulaient me mordre, pour me voir crier ou pour admirer mes larmes.  

J’étais particulièrement réceptif à la danse et les arts musicaux.  Le ménage n’étais pas si difficile, le plus dure était les tenues que je devais porter pour l’occasion, la femme en charge de m’instruire aimait me déguiser, comme si j’étais une poupée vivante, portant des fois des vêtements inadaptées à la tâche, je me souviens qu’à partir de seize ans, elle vint à me faire porter des tenues courtes, étant de désagréable de voir son regard sur moi.  

L’art de parler et la gestuelle n’étaient pas complexe, il s’agissait de l’approfondissement, je savais déjà minimiser mon espace vital, avoir une attitude docile et en retrait, le couple qui s’occupaient de cette matière osaient même m’emmener dans des soirées, mais restaient stricte au moindre écart. Je connus donc des bals où l’immensité des salles et la beauté m’oppressaient au plus haut point, devant danser avec des personnes que l’on me présentait, sans me soucier de certains gestes déplacés de leurs parts. Lors de ses soirées on me présentait comme une nièce éloignée, il n’y avait pas de contrôle d’identité, la simple présentation d’une invitation suffisait et bien malheureux serait celui qui venait à en parler en dehors de la fête.   Bien évidement on me rétorquait mon manque d’initiative dans la parole ou encore que je n’avais pas une verbe développée. Mais ça, il n’y en avait pas réellement besoin dans le projet de mes parents.

Le temps se mit à passer. Les livres étaient devenus mes seuls compagnons, des livres que mes parents triaient, afin que je n’aie pas une « mauvaise instruction », en d’autre mot, l’envie de liberté ou des idées comme m’affranchir de leurs pouvoirs sur moi. Ma chambre n’avais pas grandement changé, les murs étaient toujours recouvert de cette mousse qui empêchait les bruit de sortir, ainsi que mon magnétisme d’atteindre les autres salles, ne m’éclairant qu’à la bougie, n’ayant le droit de sortir que lorsque mes parents déverrouillaient la porte avec une clé ; J’avais quelques décoration, comme une lampe avec un chat dessus, ou alors des citrouilles en plastique, tous pouvaient accueillir une bougie.

J’avais une collection de vêtement, venant à retravailler ceux trop large pour les adapter à mes mensurations. Dans ses vêtements, il y en avait une que j’aimais beaucoup, une tenue violette et beige, avec un chapeau, cela donnait une allure de sorcière. Dans mon petite monde, qu’était ma chambre, j’étais une sorcière, une sorcière qui avait été maudite à la naissance, pourquoi ? Je ne le savais pas moi-même. Une sorcière qui ne devait pas utiliser ses pouvoirs, pour en pas effrayer la population, une sorcière qui devait agir selon la volonté de ses parents, pour espérer devenir une princesse. Seulement je savais que cette histoire ne se terminerait pas par « ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».
Ma mère était partie, en parlant de manifestation. Je ne compris pas ce terme, comprenant juste que ma mère ne serait plus là, mon père étant le seul présent, ce qui n’était pas pour me rassurer.  Il semblait de très bonne humeur, venant exceptionnellement à me laisser aller à la cuisine, pour que je fasse à manger pour ce soir.  Le repas serait copieux, sachant d’avance que je n’aurais que les restes ou une nourriture moins savoureuse s’il ne restait rien. Cela m’interrogeait, en temps normal ce genre de repas était pour leurs anniversaires ou alors pour fêter un grand évènement, mais ils n’avaient parlé de rien les jours précédents.  

Mon père était au téléphone, apparemment il parlait avec ma mère. Apparemment dehors il y avait du grabuge.  Puis il y eu mon père qui hurlait le prénom de ma mère, Béatrice.  

S’en suivit un instant de silence, puis il vint à braquer son regard vers moi, un regard qui me fit bondir. Je vins à tenter de fuir, mais il me prit le bras pour me plaquer contre un mur, avec violence. Il arrivait qu’il me bat, mais jamais il n’avait été aussi violent, venant à me dire que les Turnes devaient disparaître et moi le premier.  Il me traînait dans ma chambre, tirant sur mes cheveux, n’hésitant pas à me donner des coups de pied dans le ventre, pour que je sois bien sûr d’être au sol. Il partit et revint avec une épaisse chaîne. Il serrait si fort que respirer était douloureux, il était en pleine rage, il voulait me tuer, mais pas rapidement.  

Il alluma des bougies autour de moi, beaucoup de bougie, avant de poser des livres entre mes chevilles et mes fesses, attendant que la tension, avec les chaines, me fasse gémir de douleur. Il était totalement fou de rage.  Je ne pouvais presque pas bouger et l’entendis dire qu’il allait réfléchir comment me torturer, avant de quitter la pièce, fermant la chambre à double tour.  

Je ne sais pas combien de temps se mit à passer, avant que mes tremblement ne stoppent, que je ne sois plus tétanisé de terreur. Je vins à gesticuler, tombant sur le côté, la lueur d’une flamme étant si proche qu’elle pouvait certainement brûler quelques cheveux. Une idée pleine de désespoir se mit à immerger. Si je mettais le feu à ma pièce, il y aurait certainement quelqu’un pour me sauver, même si s’était pour finir dans une cage, je préférais cela à mourir.

Avec l’énergie du désespoir, je parvins à retirer quelques livres et taper dans les socles des bougies, gémissant en sentant certaine me brûler la peau. Les flammes furent en contact avec les meubles en bois, venant à embrasser les livres et mettre le feu à la pièce.

Je priais de tout mon être pour que l’on me sauve, tout en me disant que la mort aurait été mon choix et non ceux de mes parents.  Je priais pour que le voisinage ouvre les yeux et se souvienne que mes parents avaient un enfant, qui sortait rarement et tout le temps accompagné.  



Mental


Altruiste Altruiste Attentif Craintif Consciencieux Docile Discret Réservé   Studieux Secret

Je n’ai aucune envie d’être sous le feu des projecteurs, étant habituée à être une marionnette que l’on manipule dans les endroits sombres pour son propre compte. Face à des inconnues, je me montrerais très timide, il ne sera pas facile d’entamer la conversation, laissant autrui commencer à parler. Mais, je serais à l’écoute de ses moindres mots, pour le connaître et m’adapter à ce qu’il voudrait de moi, encore plus s’il se montre violent et veut m’imposer sa vision, courbant l’échine pour ne pas me faire punir et le satisfaire.  

Du fait de mon éducation, la frontière homme et femme me semble flou, terriblement flou. Si j’ai conscience d’être biologiquement un homme, j’ai été élevé comme une femme. Cela ne m’autorise pas à me définir comme un homme, quitter mon mode de vie, mes vêtement seraient impossible pour moi, il s’agit de mon être, d’un sanctuaire où je ne me sens pas suffoquer. J’ai accepté pleinement le fait que je devais être une femme et cela ne rend que le sujet plus sensible, me terrant dans le mutisme, renfermant avec violence mes sentiments et essayant d’éviter d’exploser si la personne se montre trop insistante pour me faire changer d'avis, ou creuser là où elle ne devrait pas.

Je fais un gros complexe sur ma mutation, venant à être désemparé quand mon magnétisme engendre des dysfonctionnements. Il y a des fois je souhaiterais qu’elle disparaisse, mais des fois je me dis que sans ma mutation je serais une proie plus facile à dévorer.  

Si je suis à l’écoute des autres, je ne peux m’empêcher d’avoir la crainte qu’en face de moi se trouve un monstre qui ne veut que jouer avec moi, avant de me déchiqueter. Les autres cherchent sans doute à me pousser à bout, pour assouvir leurs fantasmes ou envies.  Je n’obéis que par crainte, non par volonté de les servir réellement.

Je suis phobique de la mort. Cela me met dans un état de stress intense et me fait perdre toute mes moyens. Certains diront que j’ai un fort instinct de survie, d’autres diront que je suis hyper-sensible à la notion de mort. Si vous me faite suffoquer, je serais en pleure, j’hurlerais, je gesticulerais pour tenter de me défaire de la prise, comme ses pauvres chats qui se débattent et finissent par s’étrangler davantage dans leurs luttes.

Si on me tourmente, je ne dirais rien. Cela ne pourrait être que pire, aussi je garde tout secret en moi, telle une boite de Pandore, attendant simplement que le coffret déborde de miasme et finisse par s’ouvrir de force, déversant ses malédictions sur le malheureux qui l’a ouvert. Quand cela arrivera, je ne serais pas la brebis douce et docile, mais une louve enragée, mordant et déchiquetant tout sur mon passage, jusqu’à prendre conscience d’avoir versé le sang d’autrui et me lamenter sur mon acte ignoble.  

Je ne suis pas un monstre, je sais que je ne pourrais détourner le regard sur une personne en difficulté, connaissant la souffrance. Cette générosité est à double tranchant, sachant que les autres profiteront de cette faiblesses pur me museler et me promener là où ils veulent.

Dossier Psy

Ce dossier est obligatoire pour les étudiants.
Il permet de savoir, pour le psychologue, ou pour n'importe qui qui aurait accès au dossier, les informations que vous avez déclarées à l'institut. Vous pouvez mentir, mais il risque d'y avoir des conséquences...!

Si vous ne faites pas partie du N.E.S.T., libre à vous de remplir cette partie ou non, avec un psychologue privé.

‣Êtes-vous un Turne? -
‣Si oui, quelle est votre mutation? -
‣Avez-vous de la famille? -
‣Quel a été le plus beau moment de votre vie? -
‣Si vous pouviez changer quelque chose dans votre vie, qu'est-ce que ce serait? -
‣Avez-vous de la rancœur vis-à-vis des Turnes? -
‣Avez-vous de la rancœur vis-à-vis des Humains? -
‣Croyez-vous en la paix entre les races? -
‣De quoi avez-vous le plus peur? -
‣Quel est votre but, comment envisagez-vous l'avenir? -
‣Avez-vous des regrets, des choses inaccomplies? -
‣Quelles sont vos occupations externes? -
‣Avez-vous déjà tué quelqu'un? -



©Seiku pour Central Point

Ariel Carmin
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Ariel Carmin
Âge : 19 ans
Date d'inscription : 28/06/2019
Messages : 22
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Sam 29 Juin - 6:04


Bienvenue, Ariel!

Bravo pour ta validation!
Maintenant que ton personnage existe dans le monde de Central Point, voilà les premiers endroits où tu vas devoir te rendre :
Recensement de ton avatar
Recensement de ta capacité, comme tu es Turne
Recensement de ton logement
La minute de la prière
Création de ta fiche relations
Création ton nanocom
Création ton log!
Bon jeu, et n’hésite pas à venir poser tes questions sur notre Discord!


By Summer's Desire for Epicode
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Messages : 121
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